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Jonas Ottiger

Indonesien, Oktober 2005 - September 2007
Jonas Ottiger

Personalleiter aus Châtel-St-Denis (FR)

40 Jahre PBI

Freiwilliger des Monats - September 2021: Jonas Ottiger 

Nach der Rückkehr

Ich werde den privilegierten Kontakt, den ich mit den Menschenrechtsverteidiger in Papua hatte, nie vergessen. Es sind Personen, die bereit sind alles zu riskieren, weil es für sie nichts Wichtigeres gibt, als der Respekt der Menschenrechte ihrer Gemeinschaft. Sie haben keine anderen Interessen als ihr Idealbild. Ich hoffe, dass sie mich auch im weiteren Verlauf meines Lebens inspirieren werden.


Kurz vor der Abreise

Was mich an PBI am meisten fasziniert ist die Bescheidenheit des Ansatzes. Statt westliche Lösungen für die Probleme aufzuzwingen, sucht PBI den lokalen Organisationen Mittel zur Selbstbestimmung zu geben. PBI stellt eine unabdingbare Ergänzung zur internationalen humanitären Hilfe dar.

Un an à côté des Papous
Un an à côté des Papous
En septembre 2005, Jonas Ottiger quittait Les Paccots pour la Papouasie. Pendant un an, il y a travaillé comme volon- taire dans le cadre d’un projet des Brigades internationales pour la paix. De retour au pays, il raconte son engagement en faveur des droits de l’homme. Et rêve de repartir. Pour un projet plus personnel, en Indonésie cette fois.
En route pour la Papouasie
En route pour la Papouasie
Jonas Ottiger Il a grandi aux Paccots, en rêvant d’aide humanitaire. Jonas Ottiger, 27 ans, est parti hier soir pour la Papouasie. Il y travaillera pendant une année dans les rangs des Brigades internationales pour la paix. En accompagnant les activistes locaux dans leur lutte pour les droits de l’homme.
Pour les Papous, autonomie et démocratie ne signifient pas liberté
Pour les Papous, autonomie et démocratie ne signifient pas liberté
PAPOUASIE OCCIDENTALE • Dans la province annexée en 1969 par l’Indonésie, le Fribourgeois Jonas Ottiger a servi de bouclier pacifique aux défenseurs des droits humains menacés par les autorités.
Theo et le combat des Droits de l’homme
Theo et le combat des Droits de l’homme
Dans ce climat de répression, où très peu d’organisations internationales sont présentes (à Wamena nous sommes les seuls à part les missionnaires), la défense des Droits de l’homme est une vocation délicate voire dangereuse. Peu s’y risquent, et en général de manière plutôt individuelle que par le biais d’organisations, trop voyantes. Theo, par exemple, a ce métier dans le sang. A chaque fois qu’une violation des Droits de l’homme est perpétrée par la police ou les militaires, il se rend sur place, interroge les témoins et les victimes à qui il offre de l’assistance, rend visite au chef de la police ou au commandant de bataillon pour éclaircir l’affaire, fait son possible pour que les coupables soient identifiés et punis.
Avec les Brigades de paix internationales
Avec les Brigades de paix internationales
Jonas Ottiger, jeune Veveysan de 28 ans, est parti il y a quelques mois pour la Papouasie, dans les rangs des Brigades de paix internationales. Périodiquement, il signe une rubrique qui rend compte de son travail, du pays et des gens qu’il côtoie.